Malonnois
du bout du monde
C'est dans le cadre d'un projet européen de recherche scientifique
que je me trouve dans le Nord de la Thaïlande pour une mission
de terrain de deux mois,
la deuxième depuis un an. Plus précisément, je
me trouve a Chiang Mai ( a +/- 800 Km de Bangkok), mais mon travail
me donne l'occasion de voir toute la diversité des paysages du
Nord: larges vallées a fond plat avec de la riziculture intensive,
des villages de montagne avec une agriculture "slash and burn"
("couper et brûler"- la végétation accumulée
pendant les 10 à 12 ans de jachère) sur des pentes très
fortes, mais aussi, des paysages périurbains où la spéculation
foncière a été très importante jusqu'a la
crise financière asiatique de 1997.
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24 Heures de Volley de Malonne
La 13e édition des 24 heures s'est déroulée du
vendredi 5 au samedi 6 avril au complexe sportif de l'institut Saint-Berthuin.
Du volley
non-stop durant 24 heures, quelle folie ! Cette année encore,
quelques 127 équipes aux noms plus rocambolesques les uns que
les autres se sont rencontrées et relayées durant cette
fête du volley-ball.
Côté pile, il y a le premier match pour les plus jeunes
joueurs du club ; des pros aux côtés des amateurs ; des
filles et des gars ; des jeunes et d'autres moins ; de la compétition,
un peu, et surtout une ambiance de retrouvailles et de guindailles avec
pour leitmotiv : " On est là pour se faire plaisir, pour
s'amuser avant tout ". Côté face, il y a des centaines
de bras qui travaillent pour que cette fête sportive soit possible.
Cela passe du montage à l'arbitrage en passant par la restaura-tion,
l'encadrement des équipes et j'en passe...
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L'étrange et véridique histoire de Papy Bouboule
- Dis Papounet, raconte-moi une histoire.
- Une histoire ?
- Oui mon Papounet chéri, raconte-moi l'histoire de Papy Bouboule
! Tu sais, celle qui commence par " Il était une fois
"
- Ah, celle qui commence comme ça ! Mais tu la connais par cur
!
- Non, raconte-la encore.
- Allez, viens t'asseoir alors, je vais encore te la raconter.
Il était une fois, il y a bien longtemps, une tribu parmi tant
d'autres. Comme toutes les autres, cette tribu n'était plus farouche
pour les nôtres depuis bien longtemps. Et ses murs, pour
bizarres qu'elles soient toujours, avaient évolué comme
partout ailleurs.
En
effet, depuis longtemps ils avaient accepté la loi du plus fort
et s'étaient résignés (à contrecur,
il faut bien l'avouer) à faire la paix avec nous. A la fin de
chaque hiver ils jouaient toujours à celui qui a gagné,
mais il y avait bien long-temps qu'ils ne brûlaient plus qu'une
méchante sorcière, histoire de faire semblant de croire
qu'ils étaient toujours les plus forts.
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Où il y a de la gêne il n'y a pas de plaisir
Quoi de plus sympathique et convivial que le grand feu. Il permet à
l'ensemble de la communauté malonnoise de se retrouver pour saluer
l'arrivée du printemps. Cependant peu savent le nombre de coups
de téléphone et de démarches pour mettre cette
manifestation en place.
Un mois avant l'événement il s'agit de planter les panneaux
invitant le bon peuple de Malonne à venir déposer au coin
de la Navinne ses arbres de Noël et autres branchages qui viendront
alimenter le feu.
Certains
nous ont demandé pourquoi on ne conduisait pas le combustible
directement à l'endroit du feu. Tout simplement parce que le
fermier mettant son champ à notre disposition ne tenait pas à
ce que son terrain soit abîmé par les nombreuses allées
et venues alors qu'il avait plu énormément.
Sur les panneaux il était stipulé en plus qu'il ne fallait
pas déposer de planches avec des clous. A part deux chevrons
bardés d'une cinquantaine de clous ce fut bien respecté.
Mais ce qui n'est pas dit est-il par le fait même souhaité
? Vous allez comprendre. Quel ne fut pas notre étonnement lorsque
nous découvrîmes (ça vaut la peine d'employer le
passé simple...) deux énormes tas de thuyas enchevêtrés
apportés par camion aux petites heures du matin. En fait ce n'était
pas des branchages de thuyas, ils y étaient aussi Dieu merci,
mais des arbres entiers de trois à quatre mètres de hauteur,
de quinze
à vingt-cinq centimètres de diamètre.Pour faire
bonne mesure, comme ces arbres avaient été arrachés
avec une machine, les souches y étaient toujours, on se demande
bien pourquoi le propriétaire les aurait coupés ...ça
brûle des souches, pardi quand on fait un grand feu...Quand on
sait que les entrepreneurs payent cher pour se débarrasser de
tels chargements... rien de plus simple que d'offrir ces thuyas aux
bénévoles du grand feu de Malonne.Ces bénévoles
ont donc coupés ces souches, il y en avait une bonne trentaine,
et puis après avoir secoué la terre non pas de leurs souliers
mais des souches - pour qu'elles soient transportables- ils vont les
stocker, elles auront le temps de sécher, pour les brûler
l''année prochaine. Encore merci, comme je vous le disais : "
là où il y a de la gêne il n'y a pas de plaisir
".
Texte : Pol Wart
Une petite école à Malonne... à la taille de
petits enfants
C'est une petite école comme une vraie maison, avec sa cuisine,
sa salle à manger, sa salle de bains, où l'on apprend
la propreté en posant les poupées sur un pot minuscule
et où l'on soigne si bien les bobos, avec l'institutrice, qui,
dans cette école, est appelée la " jardinière
".
Et puis, il y a le living-salle de jeux, décoré de couleurs
douces, avec sa maison de poupées, le petit magasin, le coin
cuisine, la chambre des poupons; mais, avec leur vive imagination, les
enfants ont tôt fait de les métamorphoser en restaurant,
cabinet médical, chenil, tanière de renard, piscine, bureau
de police, ferme, etc...
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Le commissariat mobile s'arrête chez nous
Ce mercredi 3 avril, le Commissariat Mobile de la Police Communale
de Namur s'est installé sur la Place du Terminus (aussi appelée
Place du Basket, au Malpas)
pour une toute première.
Hélas, faute d'une information efficace, la population malonnoise
n'a guère réagi à cette initiative. Malonne Première
a rendu visite aux trois policiers qui étaient présents,
prêts à répondre aux nombreuses questions qui auraient
pu être les vôtres.
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Vie et violence
La violence : force aveugle destructrice, sauvagerie
primaire des guerres, terrorisme
La violence a toujours existé bien que, d'après les statistiques,
la grande criminalité n'ait pas augmenté et ne concerne
d'ailleurs que 5 % des jeunes. On assiste cependant à une dégradation
de l'image de la jeunesse à cause des actes de délinquance
qui empoisonnent l'existence. Certains jeunes veulent satisfaire immédiatement
leurs désirs ; c'est leur plaisir !
Les modèles véhiculés par la société
de consommation font monter la tension agressive. La drogue leur procure
une illusion de bonheur et, dans le monde, on leur promet des paradis
tout aussi trompeurs.
Et pourtant, il y a un chemin de vie dans la violence.
Il y a une violence créatrice, celle qui fait apparaître
et respecter les limites et les règles en famille, à l'école
et dans la société.
Les jeunes ont besoin de chercher leur identité et leurs repères
pour se construire et grandir. S'ils ne les trouvent pas, ils sont très
tentés de " jouer " avec des actes agressifs. On constate
chez les jeunes en crise une rupture de transmission de l'histoire familiale,
une démission parentale qui donne trop vite l'indépendance
ou négocie sans arrêt des limites floues. Les sentiments
des jeunes vis-à-vis des limites imposées sont souvent
mitigés. Ils ne sont pas d'accord et ressentent parfois de la
haine. Si l'éducation est bien arrimée à l'amour
et au respect, une relation vraie peut se construire. La reconnaissance
de l'agressivité mutuelle et de la non satisfaction immédiate
des désirs permet d'intégrer les règles de vie.
On voit des nouveaux parents qui sont bien plus à l'aise que
ceux qui ont connu mai 68 pour avoir une position ferme et dire non
quand ça suffit !
En milieu scolaire, une équipe d'adultes qui accepte de tenir
sa position avec fermeté et respect de l'élève,
peut contenir très vite les débordements.
Heureux les jeunes qui ont fait l'expérience de s'être
affrontés à la violence aimante d'adultes exigeants et
présents dans leur vie.
Guy BOUCHEZ
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Le mot du curé
Espoir ou espérance?
Connaissez-vous la différence entre l'espoir et l'espérance?
C'est relativement simple: l'espoir fait tendre vers un but bien précis,
un objet réel: une guérison, des vacances, un emploi...
Tandis que l'espérance est un état permanent d'attente.
Attente de quoi? Bien difficile à dire. Pour comprendre l'espérance
on ne peut parler que de son contraire: elle est contraire à
l'angoisse de vivre. Cette angoisse existentielle que nous avons probablement
tous expérimenté lorsque notre gorge se noue. Dans l'espérance
il y a aussi toujours une certaine précarité, autrement
elle serait une certitude. Je comparerais aussi volontiers l'espérance
à la confiance de l'enfant, une confiance toute proche de l'humilité
et du détachement.
Jadis, et c'est encore parfois vrai, on essayait de forcer les hommes
à l'espérance en faisant peur: peur du passage à
la vie d'outre tombe, passage qu'il fallait bien réussir. Cette
espérance était alors limitée à un salut
étroitement individuel. On n'avait qu'une âme à
sauver, la sienne! Heureusement la mentalité actuelle nous a
permis de dépasser cette étroitesse et de donner à
l'espérance une toute autre dimension. Progressivement, nous
nous sommes aperçus que tous nous étions collectivement
engagés dans un même voyage, une même aventure, et
que dans cette histoire nous avions chacun un rôle à jouer.
C'est tout le sens de l'espérance pascale!
Désormais nous n'attendons plus seulement une béatitude
personnelle mais nous avons pris conscience que la formidable évolution
dont nous faisons partie monte, progresse vers la libération
de l'esprit et le don de l'amour. Nous savons désormais que ce
n'est plus seulement notre destin individuel qui est en jeu mais bien
toute la longue histoire de l'humanité et de l'univers. Une histoire
qui a commencé il y a 10 milliards d'années et qui progresse
à une allure de plus en plus vertigineuse. En relisant notre
propre histoire mais aussi l'histoire de l'univers et l'histoire sainte,
nous pourrons découvrir et comprendre que toute cette aventure
n'est pas issue de rien ni du hasard; elle a une origine - une "force"
disent les incroyants, une "personne" disent les croyants
- qui nous attire vers l'horizon d'une humanité nouvelle, d'un
monde nouveau.
L'espérance nous offre de découvrir que la réalité
n'est pas absurde, elle est faite de créations qui s'enchaînent
pour nous conduire vers un futur, vers un monde nouveau. Tous nous portons
en nous la matrice de ce monde nouveau. Chaque jour nous faisons renaître,
nous ressuscitons le monde à la vraie vie. Nous sommes faits
pour "ressusciter". Parce qu'en nous rien n'est achevé,
rien n'est parfaitement satisfaisant, nous aspirons à devenir
vraiment vivants.
En ressuscitant Jésus, Dieu ouvre l'espérance à
toute l'humanité et procure un dynamisme nouveau pour mener à
bien l'achèvement de la création.
Pendant la première semaine des vacances de Pâques, un
groupe de Belges dont des Malonnois se trouvaient à Arêches-Beaufort.
Traditionnellement a lieu
une compétition de slalom géant réservée
aux vétérans, anciens moniteurs, pisteurs, etc. J.P. Charlier,
malonnois bien connu a participé à cette compétition
et a décroché la 3ème place sur une trentaine de
participants. Félicitations pour cet exploit .
BILLET D'HUMEUR
L'auto des grands-parents a ramené Mathieu et ses deux soeurs.
Suivant un usage rapidement élevé au rang du sacré,
la grand-mère est repassée par la boulangerie pour gâter
chacun selon ses envies et le goûter est solide, animé.
Une fois les estomacs apaisés, bien calés pour certains,
chacun s'installe dans une activité. En règle générale,
les choses se passent bien, nos trois loustics étant, le plus
souvent, passés maîtres dans l'art de composer.
Mais, ce jour-là, papa rentre plus tôt : il a prévu
de planter des framboisiers avec le grand-père. Et, comme Mathieu
fait partie des " mecs ", il accompagne les deux jardiniers.
A grands renforts de coups de bêche et de houe, le terrain se
prépare et Mathieu manie un rateau avec autant d'énergie
que ses deux compagnons. Les " hans " qu'il pousse à
chaque coup sont presque aussi convaincants que ceux du père
et ceux du grand-père. Le travail avance bien et, dans le soir
qui s'annonce, les bruits des outils de jardinage s'enfoncent sourdement
dans la bonne terre sableuse du jardin.
Mais, ce soir, le papa a charge du souper et il quitte bientôt
le travail. Sans hésiter son fiston repousse son invitation à
rentrer avec lui à la maison, déclarant haut et fort qu'il
continue à travailler avec son grand-père. Et les deux
compères reprennent leur besogne.
Pourtant, progressivement, le petit bonhomme s'arrête ; il regarde
autour de lui. Venue des bois voisins, l'obscurité se faufile
doucement entre les arbres ; elle avale insidieusement le jardin, estompe
sournoisement les murs rassurants de la maison dont on n'aperçoit
bientôt plus que de vagues contours.
Non seulement notre homme ne travaille plus mais, ce qui est plus inhabituel,
il ne dit plus un mot. Ses yeux se perdent là-bas, du côté
de la cuisine éclairée où papa prépare le
souper.
Le grand-père a perçu l'affaire et tente de rassurer son
petit compagnon. Il parle d'une couverture bien chaude qui va envelopper
le jardin et lui permettre ainsi de se reposer une grande nuit, comme
les petits garçons dans leur lit.
Le silence du petit jardinier ne traduit aucune conviction. Et le voilà
qui se glisse hors de la parcelle de terre préparée.
- Tu aimes la nuit, Mathieu ?
Silence dubitatif !
- C'est beau, tu sais, la nuit avec un ciel plein d'étoiles.
Re-silence dubitatif !
- Tu voudrais aller près de papa, Mathieu ?
Suggestion libératrice, le rateau du bonhomme lui échappe
des mains et une petite voix toute douce..., toute douce se glisse dans
la nuit qui, maintenant, s'installe tout à fait.
- Je vais juste donner un bisou à papa ; puis, je reviens.
Ne pas perdre la face, grands dieux ! surtout ne pas perdre la face.
L'Escribouilleur
O2 Bikers Kids Trophy
C'est la première fois qu'un tel trophy est organisé
en région wallonne, et c'est un parcours sur le territoire de
Malonne qui fut retenu.
En effet, ce dimanche 24 mars, alors que le soleil de printemps dardait
de ses premiers rayons, 63 jeunes de 8 à 14 ans s'élançaient,
chevauchant leur VTT, sur les sentiers environnant le hall omnisports
de St-Berthuin.
Le but de ce trophy est de parcourir le tracé d'un circuit le
plus de fois possible sur un temps donné. En fonction de l'âge,
ce temps varie entre 15, 20 et 30 minutes.
En théorie, ces manches sont réservées aux licenciés,
inscrits donc dans un club. Mais exceptionnellement, 5 néophytes
furent admis lors de cette première.
C'est la preuve qu'il y a une volonté de promouvoir ce type de
sport en nos contrées.
Petit cocorico : parmi les 3 premiers non-licenciés, nous trouvons
2 jeunes Malonnois.
P. Folcque
Un tournoi international au F.C. Malonne 2000
Ce week-end de Pâques, le Comité du Football Club Malonne
2000 a organisé un grand tournoi de préminimes et de minimes
dans les installations du Champ-Ha.
Le
dimanche 31 mars, 14 équipes de préminimes et le lundi
1er avril, 16 équipes de minimes se sont rencontrées.
Parmi elles, 4 équipes sont venues de Fontaine-la-Malet (faubourg
du Havre en France). Chaque équipe devait prester 3 matchs pour
se qualifier.
Ce sont les équipes françaises qui se sont le mieux distinguées
en remportant la victoire dans les deux catégories. Comment expliquer
cette réussite ? Nos enfants sont-ils moins doués ou moins
bien entraînés que leurs copains français ? Il faut
savoir que depuis de nombreuses années, la Fédération
Française de Football a pris le taureau par les cornes en organisant
des stages de formation pour les jeunes, en subsidiant les clubs qui
peuvent recruter des formateurs. On connaît les résultats
de cette décision, y compris au plan international.
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Les jeunes et l'alcool
Pourquoi faut-il que - trop souvent ! - des initiatives pleines d'intérêt
suscitent aussi peu d'engouement ? Cette triste constatation en a encore
reçu la preuve ce mardi 12 mars, à l'occasion de la conférence-débat
organisée par l'association des parents de l'institut Saint-Berthuin
(secondaire), et qui avait pour thème l'alcool et les jeunes
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Ex libris
Moi, Mitounet-Joli, par Pierre Gripari, éd. Julliard, l'Age d'Homme,
Presses-Pocket n°2153.
Mitounet est un petit martien, né de père terrien et
envoyé par celui-ci sur la terre pour faire connaissance de sa
famille terrienne. Il atterrit dans un coin de France au milieu d'une
famille nombreuse que son arrivée va inquiéter.
Les relations, dès le départ, sont difficiles et vont
rapidement tourner au drame. Malgré ses efforts, le petit extraterrestre
sera rejeté par les membres de la tribu.
Contrairement à ce qui se passe sur Mars où l'on ignore
la jalousie, les rancoeurs, la cupidité, la peur de l'autre,
chez les hommes, le sentiment constant d'une présence étrangère,
même si elle est inoffensive, ce sentiment est menaçant
et peut mener au pire.
Bien d'autres différences de comportement, de constitution même
vont transformer ce milieu en chaudron de sorcière et la tentative
de rencontre positive entre les deux populations débouche sur
un échec total.
J'ai trouvé fort intéressante la confrontation entre deux
types d'êtres aussi différents. Elle m'a fait prendre conscience
de ce que nos comportements traditionnels, comme le souci de l'argent,
par exemple, peut avoir d'absurde et d'incohérent. Et pourtant,
qui sait si, un jour prochain ou lointain nous n'aurons pas à
faire l'apprentissage de la cohabitation.
J.Lorant
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