Le "Petit-Bois" et le "Champ Ha "
La rue du "Petit-Bois" est située
entre la rue du Vivier et la rue du Piroy.
Patrick Smeets
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Rendez-vous ce samedi 15 mars pour le Grand Feu
C'est une tradition que l'on doit aux nombreuses années
de bons et loyaux services des joyeux lurons du Chep-son. Comme chaque
année, le samedi le plus proche du 15 mars, la Confrérie
de l'Aumônière de Malonne or-ganise le Grand Feu du village
Alex Vandurme
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Mouvement Couple et Famille - Nouveaux locaux
Le 24 janvier dernier, une centaine de personnes avaient
répondu à l'invitation de José Gérard et
de son équipe pour l'inauguration des nouveaux locaux situés
au rez-de-chaussée du 148 de la rue du Fond.
José Gérard
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A la mémoire de Gilbert Quairia
Gilbert, le garagiste retraité du Petit-Ry,
bien connu des automobilistes malonnois et d'autres détenteurs
d'engins à moteur, nous a quittés, le 30 janvier dernier,
le jour de la fête de saint Mutien-Marie.
Né à Sovimont, le 7 janvier 1924, deuxième fils
en partage avec son frère jumeau dans une famille qui allait
compter six garçons, Gilbert décrocha son diplôme
de mécanicien- metteur au point (section automobile) à
l'Ecole Technique moyenne et supérieure de Charleroi. Il avait
19 ans.
Refusant de travailler pour l'occupant, le jeune Gilbert Quairia passa
dans l'illégalité. Il obtint la médaille de réfractaire
que lui délivra, en 1954, le Ministre des Travaux Publics et
de la reconstruction. Néanmoins, il sé-journa en Allemagne
pendant son service militaire dans l'armée d'occupation.
Le couple Gilbert Quairia - Marie-Thérèse Duculot issu
du mariage célébré en 1948 donna naissance à
trois filles : Solange, Anne-Marie et Christiane. C'est au début
des années 1960 que Gilbert s'est installé comme garagiste
indépendant au Petit-Ry, là où il avait acheté
une maison en 1956.
Gilbert a travaillé aussi au garage Mazuin à Saint-Gérard;
chez Dulière, comme contremaître lors de la cons-truction
du téléphérique de Namur, chez Enbeltra, comme
mécanicien, à Flawinne.
Durant toutes les années de sa vie active, Gilbert a excellé
dans son travail. Le service à la clientèle ne connais-sait
aucun répit... même pas les heures de fermeture! Gilbert
au garage ou en dépannage, son épouse à la pompe
ou aux bonbonnes.
De nombreux apprentis ont bénéficié du savoir et
de l'expérience du garagiste du Petit-Ry. Lorsque Gilbert s'est
retiré des affaires, le garage devenant, après reprise,
le Garage du Babin, il n'a jamais cessé de rendre service à
tous ceux qui sollicitaient une aide ou un conseil.
Les Malonnois gardent de bons souvenirs du garagiste qualifié
du Petit-Ry, naturellement serviable sans aucune ostentation.
Grâces, Gilbert, dè l'paurt di tos lès cias qui
v's avoz dépané en mètant tot vosse coeûr
à l'ovradje èt todi fé plaîji à tot
l'monde .
Texte : Joseph Daffe
NOS RACINES TREMPENT DANS LE WALLON
Mwès d'maus'
Nos-î tot l'minne! I n'a pont d'mau ! Après
trwès longs mwès d'frèdeû èt d'mwêrû.
Enn'a-t-on d'visé, don, portant! " Au maus', nos f'rans
çoci. Au maus', nos-îrans lauvau. Au maus',... Au maus'.."
Joseph Daffe
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Confirmations
Entourés
de leur famille et de leur parrain ou marraine, 21 jeunes ont été
confirmés par labbé Ganty en la chapelle du Piroy,
ce samedi 8 février.
Nicole Bouchez
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Ex Libris - La Chambre sourde, d'Isabelle Hausser
Depuis quelques années, la Russie a, dans certains
secteurs, radicalement opté pour un autre type de société
et une autre façon de vivre.
Isabelle Hausser connaît très bien les changements qui
sinstallent dans la vie de cet immense pays ainsi que ce qui reste
de lancienne société communiste.
Dans «La chambre sourde», elle met en scène un diplomate
français très au fait des modifications qui interviennent
peu à peu. La description de ses activités, des relations
quil établit avec les différents milieux quil
fréquente, illustre très clairement la transformation
profonde qui sempare du pays.
Mais le passé le rattrape au tournant de sa vie sentimentale :
les rapports secrets que le KGB établissait de façon minutieuse
sur ses activités lui tombent dans les mains ainsi que ceux que
le même organisme avait établi sur la vie de son épouse
avant le mariage.
Lambassadeur découvre ainsi tout un aspect de la vie de
celle-ci, quil ignorait totalement et qui le fait douter de la
sincérité de celle quil aime toujours profondément.
Lintrigue amoureuse est rapportée avec beaucoup de finesse
et la description de la nouvelle société russe qui est
en train de naître révèle la profonde connaissance
que lauteur a de son sujet.
Certains passages de ce dernier volet mont paru assez longs bien
quintéressants, mais lattention est relancée
par la description des sentiments des personnages.
J Lorant
Accueillir un enfant roumain pendant les vacances 2003
!
L'asbl Enfants Etrangers en Vacances cherche des familles
disposées à ouvrir leur foyer à des enfants roumains
pendant les vacances d'été, du jeudi 24 juillet au dimanche
17 août 2003.
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Plus que 2 mois et demi dormir avant de voter. Dans 80
jours, nous y serons. Certains trépignent déjà
dimpatience pour connaître les résultats. Mais avant
cette échéance, on pourrait, tel Jules Verne, imaginer
un tour du monde électoral en 80 jours et se mettre à
rêver...
RÊVER A DES CANDIDATS...
- des candidats qui safficheraient discrètement pour ne
pas gâcher nos coins pittoresques
- des candidats dont le numéro de liste ne se mesurerait pas
en mètres-carrés
- des candidats dont le seul discours ne se résumerait pas à
un slogan vide de sens
- des candidats dont le seul programme ne serait pas une tête
photogénique
RÊVER A DES ELUS...
- des élus qui le seraient pour servir la population et non leurs
intérêts ou ceux de leurs amis ou bienfaiteurs
- des élus qui parleraient plusieurs langues mais ignoreraient
la langue de bois
- des élus qui, aux dépenses fastueuses, préfèreraient
les dépenses les plus utiles
- des élus qui rencontreraient la population pour connaître
ses besoins réels
- des élus qui se pencheraient sur la situation des gens et non
sur des dossiers
- des élus qui proposeraient un avenir meilleur plutôt
que virtuel
- des élus qui consacreraient leur temps à prendre les
meilleures décisions plutôt quà chercher des
compromis vides de sens
- des élus qui ne dépenseraient pas uniquement leur énergie
à leur réélection
- des élus qui uniraient leurs efforts et ne se perdraient pas
en querelles inutiles et factices
ON PEUT TOUJOURS RÊVER ?
Bien sûr, pourquoi pas ?
André JEANMART
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Si nous parlions de Dieu
Depuis la nuit des temps, les hommes se sont forgés
des idées bien différentes d'un être supérieur.
Que nous soyons croyants ou athées, nous nous faisons tous une
représentation de Dieu. Pourquoi? Parce que tous, au gré
des circonstances de notre vie personnelle, nous nous sommes construit
une conception de lui qui est plus ou moins admissible ou irrecevable.
Mais avant de parler de Dieu, il faut peut-être d'abord se rappeler
que "Dieu" est d'abord un mot et pas un nom. C'est le mot
qui permet à l'homme de désigner une chose inexprimable,
d'affirmer une transcendance.
"Dieu", s'il existe - car il est permis d'en douter - dépasse
infiniment tout ce qu'on peut imaginer et déborde toutes nos
représentations qui sont nécessairement liées aux
choses du monde. Est-il donc alors impossible de parler de lui? Non.
La Bible par exemple, est un livre qui ne parle que de Dieu. Mais il
est important de souli-gner qu'elle ne dit jamais "Dieu" à
partir d'une réflexion intellectuelle, elle en parle toujours
à partir d'expérien-ces historiques, c'est-à-dire
à partir de l'observation de la vie humaine et du monde.
Dieu nous parle, non par une voix qui serait diffusée du ciel
avec des haut- parleurs, il ne peut se faire connaître qu'à
travers les événements bien concrets de la vie des hommes.
Parmi ces hommes certains sont, plus que d'autres, "expression"
de Dieu, tel Jésus qui a été l'expression la plus
humainement parfaite de Dieu.
Les chrétiens ne peuvent donc affirmer une certaine conception
de Dieu, qu'en relisant l'histoire et particulière-ment l'histoire
de Jésus. En naissant sur la paille, en parlant avec les pécheurs,
en touchant les lépreux, en sor-tant les vendeurs du temple,
en mourant sur une croix
Jésus "dit Dieu".
Dieu ne s'est cependant pas limité à se "dire"
("se révéler" comme disent les chrétiens)
en Jésus. Chaque jour il ne cesse de se dévoiler dans
notre histoire contemporaine, chaque fois que des femmes et des hommes,
sous la mouvance de son Esprit vivent leur humanité dans le sens
de Jésus.
En résumé: Dieu vous ne le trouverez pas dans des définitions
philosophiques, vous ne le verrez pas plus dans des ostensoirs d'or,
ni sur un trône pontifical, mais vous le découvrirez dans
l'homme torturé ou dans l'humilité du pain et du vin partagés
ou encore dans la joie de la fête.
Texte : G. Lamotte
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